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Zacharie 4.6

Zacharie 4.6

Zacharie 4.6
Alors il reprit et me dit: C’est ici la parole de l’Éternel, qu’il adresse à Zorobabel, disant: Ce n’est point par puissance, ni par force, mais par mon Esprit, a dit l’Éternel des armées.

Finalement, au milieu de la tourmente, à quoi bon dépenser tant d’énergie? Celui-là se débat vigoureusement, et jette toutes ses forces dans la bataille. Malheureusement, ce ne sera pas suffisant. En réalité, il faudrait que le bras de la chair ait une autorité telle qu’à son commandement vents et tempêtes s’apaisent. De toute évidence, ce n’est pas le cas.

Indiscutablement, face à ce constat, la nécessité d’un Sauveur se fait jour. L’homme doit reconnaître qu’il manque cruellement de ressource, qu’il doit nécessairement prendre appui sur une personne tierce. Autrement, s’il s’y refuse, il devra souffrir sa propre perte. Naturellement, Dieu a connu la situation désespérée de l’homme. En réponse, preuve de Son Amour pour l’humanité, Il a donné Son Fils unique. Autant dire que si le pécheur était en mesure de se sauver seul, Dieu n’aurait certainement pas livré Son Bien-aimé! Sans conteste, Il Lui aurait épargné les douleurs et le supplice de la croix. Non, Il ne l’aurait pas exposé aux souffrances, aux railleries et autres moqueries des impies. Seulement voilà, si Christ n’était pas venu accomplir l’Oeuvre, il n’y aurait pas de salut. Aujourd’hui, c’est fait! Il ne reste plus à l’homme qu’à profiter du fruit du travail du Seigneur Jésus.

Bien sûr, à présent, Il n’est pas là physiquement. Toutefois, Son Esprit est là. Même, Dieu a envoyé dans le cœurs des fidèles l’Esprit de Son Fils. Maintenant, les croyants sont scellés du Saint-Esprit promis, et conduits en toute vérité. Il assure aux rachetés qu’ils ne sont pas seuls au monde, qu’ils ont bel et bien été adoptés par le Père. Le Consolateur leur rend témoignage de Christ et les invite à regarder vers Lui en toutes circonstances.

C’est sûr, si quelqu’un résiste à cet appel, il commet un sérieux affront à Son Sauveur! Après tout, que révèle sa conduite sinon une volonté d’indépendance? Il s’estime capable de s’en sortir tout seul. Ce faisant, tel use de mépris envers la précieuse grâce de Dieu. Quelle suffisance, quel orgueil, quelle témérité! Et pourtant, qui n’a jamais été convaincu de ce péché? Qu’importe, il est temps désormais de délaisser ces vanités. Dorénavant, soyons résolus, avec les autres enfants de Dieu, marchons humblement sous la conduite de l’Esprit. Son chemin est sûr, fiable et lumineux. Assurément, là où est l’Esprit du Seigneur, là est la liberté.

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