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Genèse 8.9-11

Genèse 8.9-11

Genèse 8.9-11
Mais la colombe ne trouva pas où poser la plante de son pied, et elle retourna vers lui dans l’arche; car il y avait de l’eau à la surface de toute la terre. Et Noé avança sa main, la prit, et la ramena vers lui dans l’arche. Et il attendit encore sept autres jours, puis il lâcha de nouveau la colombe hors de l’arche.

En définitive, nous devons bien l’admettre, notre influence sur l’environnement qui nous entoure est fortement limitée. Parfois, sans que l’on ne puisse rien y faire, tout semble vaciller sous nos pieds. Il ne parait y avoir aucune prise, rien sur quoi s’agripper pour éviter de sombrer. Alors, au milieu de l’épreuve, de la tempête tumultueuse, il ne se trouve aucun repos, nul endroit où reposer sa tête pour trouver quelque soulagement.

Que faire en de pareilles circonstances? Se débattre pour s’enfoncer encore davantage? Se résigner et abandonner le combat? Non, bien entendu. Considérons un instant le témoignage des Écritures à propos d’un des épisodes de la vie de Noé. Alors que ce dernier se trouvait dans l’arche avec sa famille, il est tout à fait évident que Noé n’avait aucun pouvoir ni sur la crue ni sur la décrue des eaux qui l’entouraient. Il ne voyait rien et n’avait pas idée de ce qu’il se passait à l’extérieur. Pourtant, la Parole de Dieu ne nous rapporte pas que son cœur en fut un tant soit peu troublé. Mais alors, quel était le secret d’une paix si abondante? Un examen, même superficiel, du récit inspiré nous enseigne à ce propos. Indiscutablement, Noé se reposait sur Dieu. Il avait confiance en Lui et, de ce fait, s’appuyait fermement sur Lui. Après avoir épargné Noé et avoir refermé l’arche sur lui, Dieu l’aurait-Il maintenant abandonné pour le laisser partir seul à la dérive? Bien sûr que non!

Quel grand encouragement pour nous, n’est-ce pas? Regardons, Dieu a livré Son propre Fils pour nous tous. Quant à ceux qui croient en Son Nom, la Bible l’affirme, la dette contractée à cause du péché est acquittée. Oui, à la croix, le Christ en a payé le prix. L’Oeuvre est achevée. Tout est accompli. Désormais, tout comme le fut Noé, les hommes sont invités à se mettre à l’abri de la colère qui doit s’abattre sur le monde. Soyons-en conscients, par la foi dans le Nom de Jésus, nous entrons dans l’arche du salut. À l’intérieur, nous sommes définitivement mis à couvert de la condamnation. Par conséquent, le repos de Noé, le repos de la foi, ne peut-il pas maintenant devenir nôtre? Qu’avons-nous encore à craindre? Si nous sommes dans l’arche, vents et marées peuvent bien se déchaîner, notre sécurité est assurée. Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous?

Oui, véritablement, toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés, selon Son dessein. Ceci est vrai que le chemin soit verdoyant ou aride, que nous soyons malades ou en santé, las ou plein d’énergie, dans la joie ou dans la peine… Une seule chose importe, demeurer dans l’arche, garder la foi dans le Nom du Seigneur Jésus!

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