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1 Corinthiens 10.4

1 Corinthiens 10.4

1 Corinthiens 10.4
Et qu’ils ont tous bu du même breuvage spirituel; car ils buvaient de l’eau du rocher spirituel qui les suivait; et ce rocher était Christ […].

Jamais tout seuls, non jamais tout seuls! Oui, le Rocher est toujours là, quelles que soient les circonstances. Evidemment, il y a ici une grande consolation pour le peuple fidèle. En plein milieu du désert, affreux et aride, il se trouve pourtant une abondante source d’eau vive.

C’est vrai, le soleil frappe et le sable brûle. Qu’importe, rien ne parvient à altérer les bien-aimés du Seigneur. Non, ceux-là n’ont pas à souffrir la soif: l’eau ne manque absolument jamais. Et pour cause, Emmanuel est là. Sa source est intarissable. Quiconque boit de l’eau que le Christ donne n’aura plus jamais soif. Naturellement, cela a de quoi surprendre. Néanmoins, l’expérience d’une multitude a démontré fort brillamment que ce témoignage est vrai. Après tout, il n’y pas de quoi être étonné. Tout est possible à Dieu, y compris faire jaillir de l’eau d’un rocher!

Aujourd’hui, bien que chahutées et malmenées, les brebis ne perdent pas courage. Même, sur la route, elles marchent avec persévérance sans se lasser. La chaleur et la sécheresse ne semblent pas avoir d’effet sur elles. Le secret de leur extraordinaire vitalité? La présence rafraîchissante de leur Seigneur. Constamment, le bon Berger est devant Son troupeau, et l’abreuve à souhait. Il le fait reposer dans de verts pâturages, Il le dirige près des eaux paisibles.

Maintenant, croyons-le, il est encore temps de rejoindre ce joyeux cortège. Le Fils de Dieu donne gratuitement de la source d’eau vive à celui qui a soif. Rassurons-nous, Il ne la réserve pas seulement à quelques heureux élus triés sur le volet. Au contraire, l’invitation miséricordieuse est adressée à l’attention de toute l’humanité, ou plus précisément, à l’attention de quiconque croit en Lui. La foi en Jésus, telle est l’unique condition à ce que des fleuves d’eau vive coulent du sein d’un homme.

En réalité, le Christ est venu pour chercher et sauver ce qui était perdu. Jusqu’à cette heure, le Pasteur est en quête des âmes languissantes. Aussi ne cesse-t-Il d’appeler les assoiffés. Véritablement, Il soulage et désaltère durablement tous ceux qui répondent. Désormais, à notre tour de saisir Sa grâce! Qu’avons-nous encore affaire de creuser des citernes, citernes crevassées qui ne retiennent pas l’eau? Sans regret, abandonnons-les pour aller à la source d’eau vive! Croyons dans le Nom de Jésus, et vivons!

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