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Romains 6.22-23

Romains 6.22-23

Romains 6.22-23
Mais maintenant affranchis du péché et esclaves de Dieu, vous en retirez pour fruit la sainteté, et pour fin la vie éternelle; Car le salaire du péché, c’est la mort; mais le don de Dieu, c’est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur.

Si le Seigneur nous refusait Sa grâce, qui peut dire ce qu’il adviendrait? Où irions-nous, que ferions-nous, ou encore, quelle serait notre espérance? Alors, sans aucun doute, nous affirmerions à notre tour: « Misérable homme que je suis! qui me délivrera de ce fardeau de mort? » Le fait est notable, seul, l’homme ne peut rien faire. Il peut combattre avec toute son énergie, même avec la meilleure des volontés, il ne ressortira jamais que de la médiocrité de tout son labeur. Tout cela est insuffisant, vain.

Il est vrai, chacun tente de faire le bien, mais pour quel résultat? Force est de constater qu’il est souvent décevant, bien en-deçà des attentes. En réalité, l’objectif est bien trop ambitieux et, avouons-le, inatteignable. La montagne est bien trop haute, la cime inaccessible. Maintenant, nous l’apercevons sans peine, l’homme n’atteint en aucun cas la justice de Dieu par ses œuvres. Le problème n’est pas superficiel comme s’il suffisait de prendre soin de l’aspect extérieur pour régler l’affaire. Non, pas du tout, il est tellement plus profond: il vient du cœur. La Parole de Dieu l’affirme ouvertement, l’homme est vendu au péché. Aussi, à quoi bon ajouter effort sur effort? Bientôt, telle personne finira par vaciller, s’épuiser et le péché qui asservit le cœur se manifestera à nouveau.

Néanmoins, à présent, nous avons sujet de nous réjouir! Dieu nous a donné un grand Sauveur. Oui, Christ est venu, et un tout nouvel horizon s’offre au regard de l’humanité. Le Fils de Dieu a paru et, tout à coup, les perspectives sont changées, transformées. Désormais, pour qui demeure en Lui, il n’y a plus aucune condamnation. Ses rachetés sont de nouvelles créatures, quittes du péché, pour qui toutes choses sont devenues nouvelles. Dorénavant, et pour l’éternité, le temps de la servitude est révolu. Pour eux, la tyrannie du péché prend fin, enfin.

Bien sûr, la tentation est toujours présente, incontestablement. Seulement, aujourd’hui, Christ vit en Ses bien-aimés, et quelle différence cela fait! Le Seigneur les rend libres, ils cheminent en nouveauté de vie et, par la foi, ils triomphent. En définitive, il s’agit de savoir quelle est notre position vis-à-vis du Seigneur Jésus. Demeurons-nous, oui ou non, dans Son Amour? Gardons-nous, oui ou non, Sa Parole? Pour sûr, si quelqu’un est trouvé hors de Lui, il travaille inutilement et se fatigue pour rien. Par contre, si quelqu’un est en Lui, il peut dire avec assurance: « Je puis tout par Celui qui me fortifie. »

Pour nous, regardons toujours à Jésus. Son soutien ne manquera pas et, quel que soit le domaine, nous finirons par obtenir une pleine victoire sur tout ce qui appartient encore à l’ancienne nature réprouvée. Libres et joyeux, nous associerons notre voix à celle de l’apôtre Paul en déclarant: « Grâces soient rendues à Dieu par Jésus Christ notre Seigneur! […]. »

2 Commentaires

  1. Dieu soit béni pour un si grand amour .

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    • Amen!

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