Esaïe 48.17
Esaïe 48.17
Ainsi a dit l’Éternel, ton Rédempteur, le Saint d’Israël: Je suis l’Éternel ton Dieu, qui t’enseigne ce qui est bon, qui te conduis dans le chemin où tu dois marcher.
Esaïe 48.17
Si un aveugle conduit un autre aveugle, quelle sera sa fin et celle de celui qui l’écoute? Ne tomberont-ils pas tous deux dans la même fosse? C’est une évidence! Ne nous y trompons pas, nous sommes aussi exposés à ce grand danger! Le seul moyen de s’en prémunir est d’être éclairé par la lumière. Alors, nous saurons où nous posons les pieds et nous ne nous égarerons pas.
Voici, Jésus-Christ est la lumière du monde. Au milieu des ténèbres, le Berger nous montre le chemin où nous devons marcher. Mépriserions-nous Sa grâce? Le monde, quoique plongé dans les ténèbres, prétend nous offrir le bonheur et la sécurité. Bien sûr, il s’agit d’un grossier mensonge, nous le savons bien. Comment être heureux si nous sommes sans Dieu dans le monde? Comment être heureux si nous sommes privés de toute espérance? Le monde, malgré tous ses artifices, ne peut en aucun cas combler ces besoins.
Le Seigneur Jésus, il est vrai, ne promet pas une existence paisible sur cette terre. Il ne promet pas le confort ni la prospérité matérielle en ce monde. Au contraire, Il met en garde et prévient ceux qui mettront leur foi en Lui qu’ils y auront des angoisses. Néanmoins, Il les assure de Sa grâce. Aussi les assure-t-Il d’un bonheur éternel, de la vie éternelle. N’est-ce pas extraordinaire?
Une question se pose alors, que préférons-nous, le jour ou la nuit? Croire au mensonge, jouir du péché, pour un temps, et périr ensuite ou recevoir la vérité, avec la perspective d’une éternité bienheureuse, même si cela nous expose à diverses épreuves pour un peu de temps? Certes, les souffrances du temps présent ne sont en rien comparables à la gloire à venir. C’est pourquoi, ne soyons pas insensés, écoutons la voix du bon Berger! Écoutons la voix de Celui qui nous enseigne ce qui est bon et obéissons-Lui!