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Romains 4.21

Romains 4.21

Romains 4.21
[…] Étant pleinement persuadé que ce qu’il promet, il peut aussi l’accomplir.

« Si vous aviez la foi comme un grain de moutarde… » C’est sûr, tout est simple pour qui espère en Dieu. Pour celui-là, il n’y a pas lieu de s’inquiéter, jamais. Et pour cause, il se fonde sur une parole éprouvée, sur de fermes promesses. Dieu est fidèle pour les accomplir, toutes. Maintenant, il est possible d’être dans l’abondance, de marcher en vainqueur, de vivre par Christ!

Dieu l’a promis: quiconque croit en Son Fils obtient la vie éternelle. Si quelqu’un est en Lui, le triomphe est assuré. Dans cette position bienheureuse, l’esclave devient libre, l’oppressé devient un affranchi. Dorénavant, les perspectives sont radieuses, glorieuses, lumineuses! Oui, les choses anciennes sont passées, définitivement. Aujourd’hui, pour lui, toutes choses sont devenues nouvelles. Dorénavant, la chose est limpide, Christ habite dans le cœur des croyants par la foi. Ils ne vivent plus, mais c’est Christ qui vit en eux. Le fidèle l’a entendu et cru: en tout et pour tout, Christ est suffisant.

Qui peut dire le prix d’une telle foi? De toute évidence, elle assure la paix à qui la possède. Elle rend présentes les choses espérées, et elle est une démonstration de celles qui ne se voient pas. Celle-là rend victorieux en toutes circonstances, même les plus difficiles. Face à l’évidence d’une impossibilité, la foi ne se retire pas. Pas question de reculer, pas question de céder au doute! En dépit de tout, elle affirme ouvertement que tout est possible à Dieu. Pour elle, ce que Dieu dit vaut toujours mieux que ce que les yeux voient.

Néanmoins, c’est peu dire que la foi rencontre de l’adversité. En ce monde, le péché enveloppe si facilement l’homme. Voici qu’étant séduit par lui, son cœur s’endurcit et devient imperméable aux précieuses promesses qu’il entend. À présent, il devient lent à croire les paroles qui sortent de la bouche de Dieu! Or, le fait est que si elles ne sont pas mêlées de foi, l’homme qui les écoute ne peut en tirer aucun fruit, aucune espérance, aucune consolation. Le voyons-nous, nous avons besoin, tellement besoin de la grâce du Seigneur! Aussi, comme l’ont fait une multitude avant nous, adressons-Lui, à notre tour, cette vibrante requête: « Je crois, Seigneur, aide-moi dans mon incrédulité »! Il ne nous mettra pas dehors.

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