Voudriez-vous oublier vos chagrins, abandonner vos soucis ? Alors plongez-vous en Dieu comme dans une mer profonde : perdez-vous dans son immensité ; vous en ressortirez reposés, rafraîchis et pleins d’une nouvelle vigueur. Je ne connais rien qui puisse autant réconforter l’âme, rien qui puisse si bien calmer les assauts du chagrin et la douleur, rien qui puisse avec autant d’efficacité parler de paix aux vents déchaînés de l’épreuve qu’une méditation fervente centrée sur la personne de Dieu.