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Ezéchiel 36.23

Ezéchiel 36.23

Ezéchiel 36.23
Je sanctifierai mon grand nom, qui a été profané parmi les nations, que vous avez profané au milieu d’elles; et les nations sauront que je suis l’Éternel, dit le Seigneur, l’Éternel, quand je serai sanctifié par vous, sous leurs yeux.

C’est un fait indiscutable, l’homme n’a absolument aucune raison de se glorifier. Il finit toujours par se montrer infidèle et par manquer à ses responsabilités. Il ne peut garder la loi de Dieu. Il est vendu au péché et, par ses œuvres, il ne peut jamais parvenir à la justice. En un mot, l’être humain est une créature déchue et engagée sur le large sentier de la perdition. Les Écritures en font l’entière démonstration.

Évidemment, l’histoire pourrait s’arrêter là: l’homme a péché, Dieu exerce Son juste jugement contre lui, et le voici séparé de son Créateur pour l’éternité. Néanmoins, ce n’est pas cette éventualité que le Souverain a privilégiée. Non, bien au contraire!

C’est une certitude, l’homme est coupable. Bien entendu, il ne peut, en aucun cas, se sauver lui-même. Il doit admettre qu’il a manqué à tous ses devoirs. Il doit reconnaître sa chute, sa misère, son incapacité totale à satisfaire les exigences de Son Dieu. C’est ici le point de départ. Maintenant, remis à sa véritable place, face à ce qu’il est réellement, Dieu tend Sa main à l’homme désespéré. À présent, il y a pour lui une parole de réconciliation, de consolation, d’amour! Contre toute attente, l’horizon s’éclaircit tout à coup et de nouvelles, et glorieuses, perspectives se font jour.

Ensemble, écoutons ce précieux témoignage: « Car Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique afin que quiconque croit en Lui ne périsse pas mais qu’il ait la vie éternelle. » Christ est venu pour chercher et sauver ce qui était perdu. Jésus-Christ est venu pour sauver le monde! Désormais, humilié et à bout de forces, l’homme le comprend sans mal: il n’est rien. Quant à son salut, enfin il l’aperçoit, il ne le doit qu’à la grâce de Dieu. Aussi, dorénavant, il n’y a plus sujet de s’enorgueillir de quoi que ce soit. Aujourd’hui, la chose est assimilée, il n’est plus question de s’élever ni de fanfaronner. La confusion revient à l’homme, honteux et rouge de honte à cause de ses œuvres. La gloire revient à Dieu, toutes les extrémités de la terre entendront l’Évangile et sauront que Dieu sauve! En définitive, au racheté, conscient de la faveur dont il est l’objet, il ne reste qu’une chose à faire: exprimer sa reconnaissance et rendre gloire à Dieu!

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