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Ezéchiel 34.26

Ezéchiel 34.26

Ezéchiel 34.26
Je les comblerai de bénédictions, elles et les environs de mon coteau; en sa saison je ferai tomber la pluie: ce seront des pluies de bénédiction.

N’en doutons pas, Dieu a béni de toutes sortes de bénédictions spirituelles dans les lieux célestes ceux, et celles, qui sont en Christ. Indiscutablement, si nous Lui appartenons, tel est aussi notre privilège! Néanmoins, peut-être se trouve-t-il quelqu’un parmi nos lecteurs qui traverse une période difficile, parsemée de rudes épreuves, et qui réagit vigoureusement à cette affirmation tant elle lui paraît fantaisiste. En réalité, lorsque l’affliction nous atteint, ne serions-nous pas tous tentés de nous abandonner à pareille réaction? Oui, selon toute vraisemblance. « Dans ma souffrance, où se trouve le secours dont j’ai besoin? Où réside cette paix après laquelle je soupire si désespérément? » Probablement, ce sont ici les interrogations qui chagrinent l’âme troublée.

Cependant, soyons-en persuadés, en dépit de toutes ces difficultés, une chose est certaine: Dieu est fidèle et Sa Parole digne de toute confiance! Si notre attente est dans le Seigneur rien ne saurait avoir raison de nous. Est-ce à dire que la vie chrétienne normale soit exempte de douleurs? Non, absolument pas. D’ailleurs, un tel propos serait contraire à l’enseignement même du Seigneur Jésus. Par contre, bien que toutes les circonstances puissent indiquer le contraire, nous croyons fermement au caractère inaltérable de l’Amour que Dieu nous porte. Non, rien ni personne ne peut, ni ne pourra, à aucun moment nous en séparer. Quant à la délivrance que nous attendons, nous savons qu Dieu n’est jamais ni en avance ni en retard mais toujours à l’heure! Assurément, la pluie du ciel reviendra et notre désert sera transformé en un étang d’eau! Ce que la vue ne discerne pas à cette heure, la foi se l’approprie.

Oui, il est possible qu’aujourd’hui notre cœur soit comme une sol aride et craquelant sous l’effet de la chaleur. Pourtant, surtout ne baissons pas les bras! Il y a de l’espoir! Soyons-en sûr, c’est seulement pour que Dieu puisse y déverser, en sa saison, les fraîches ondées de Sa grâce et de Son Amour! « Comme une terre altérée soupire après les eaux du ciel, nous appelons la rosée de Ta grâce, Emmanuel! »

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