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1 Corinthiens 11.24-26

1 Corinthiens 11.24-26

1 Corinthiens 11.24-26
Et ayant rendu grâces, il le rompit, et dit: Prenez, mangez; ceci est mon corps, qui est rompu pour vous; faites ceci en mémoire de moi. De même aussi, après avoir soupé, il prit la coupe, et dit: Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang; faites ceci en mémoire de moi, toutes les fois que vous en boirez. Car toutes les fois que vous mangez de ce pain, et que vous buvez de cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il vienne.

Si le Seigneur n’était pas venu, si le Seigneur n’avait pas souffert la croix, que serions-nous devenus? Y avons-nous déjà songé? Si nous ne pouvions nous réjouir de l’alliance faite en Son sang, de laquelle nous sommes participants par la grâce de Dieu, quel serait notre espoir? Certes, le salut nous est offert gratuitement par la foi. Néanmoins, quel grand prix a été consenti pour nous le rendre accessible! Peut-être, lorsque la marche parait longue et difficile, avons-nous besoin de nous en souvenir.

Sans doute, il se peut que les circonstances de nos vies, les soucis et les épreuves qui sont notre lot, viennent parfois à nous voiler l’éclat de l’Amour de Dieu. Oui, peut-être la fatigue est-elle si grande que le découragement et le désespoir paraissent être à la porte. Véritablement, nous avons besoin de nous remémorer l’Oeuvre accomplie par notre Sauveur. Il s’est donné Lui-même pour nous. Le corps de Jésus-Christ a été brisé et Son sang a coulé.

Nous le savons, mais combien de fois l’oublions-nous? Combien de fois, happés par ce monde, oublions-nous l’Amour qu’Il est venu manifester de la part du Père? Oui, en regardant à Lui, en considérant Ses blessures et Ses souffrances, nous nous souviendrons que nous sommes aimés. Cela ne fait pas l’ombre d’un doute. Nous nous rappellerons alors de l’intensité de cet Amour et nous aurons le force de repartir, encouragés et reconnaissants. Nous saurons que nous ne sommes ni délaissés ni abandonnés. Quelle grâce sans pareille, n’est-ce pas?

Non, qu’il ne nous arrive jamais de mépriser l’âme las et fatiguée. Plutôt, entretenons-la de l’Amour de Dieu manifesté dans toute sa plénitude en Jésus-Christ. Parlons-lui de ce grand Sauveur, des grandes souffrances qu’Il a endurées par amour. Parlons à cette âme de l’alliance nouvelle et éternelle qui a été scellée en Son sang et des glorieuses perspectives qu’elle nous ouvre! Elle ne pourra que tressaillir d’allégresse! Elle ne pourra qu’exprimer louange et reconnaissance! Certes, personne ne peut rester insensible à cela!

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