Sélectionner une page

Jacques 4.11-12

Jacques 4.11-12

Jacques 4.11-12
Frères, ne médisez point les uns des autres. Celui qui médit d’un frère, et qui condamne son frère, médit de la loi, et juge la loi. Or, si tu juges la loi, tu n’es point observateur, mais juge de la loi. Il y a un seul Législateur, qui peut sauver et perdre. Toi, qui es-tu, qui juges les autres?

Dieu nous a pardonné en Christ, n’est-ce à nous désormais de nous pardonner les uns aux autres? Ayant été l’objet d’une si grande grâce de la part de Dieu, pourrions-nous vraiment refuser d’user de miséricorde envers notre prochain? Ce serait une folie! Ne l’oublions pas, nous appartenons tous au même Corps, Celui du Seigneur Jésus. Mépriserions-nous un membre qui appartient au même Corps que le nôtre? Ne devons-nous pas plutôt nous aimer les uns les autres? Ne devons-nous pas plutôt chercher le bien commun en vue de l’édification du Corps dans la charité? Certainement! C’est pourquoi, ne nous accusons pas réciproquement! Ce serait endosser le rôle de l’adversaire. C’est lui qui accuse et divise. Le Seigneur, quant à Lui, est venu pour rassembler Ses brebis! Sans nul doute, nous partageons tous une foi de même prix. Nous avons tous reconnus que si nous sommes sauvés, c’est par la grâce de Dieu, par le moyen de la foi en Jésus-Christ. Nous n’avons aucun mérite à faire prévaloir. Se pourrait-il alors qu’un frère domine sur un autre? Non, bien évidemment!

Certes, il y a des difficultés. Certes, nous sommes tous de caractères différents. Toutefois, n’offrons pas le spectacle déplorable de divisions à la vue du monde. Maintenons le lien de la paix! Considérons les intérêts supérieurs de Jésus-Christ et non les nôtres. Sachons nous entendre et nous supporter les uns les autres. L’enjeu n’est-il pas considérable? N’est-ce pas du témoignage de Jésus-Christ dont nous parlons? N’est-ce pas du témoignage de l’Amour de Dieu et du salut des âmes dont il est question? Si ceux du dehors ne voient que guerres fratricides et divisions, viendront-ils au Seigneur? Rien n’est moins sûr.

Que notre Dieu, dans Sa grâce, nous soit en aide! Réjouissons-nous avec ceux qui se réjouissent, pleurons avec ceux qui pleurent. Reprenons avec douceur si besoin en est mais, en toute humilité, acceptons aussi d’être repris! Réprimons tout orgueil de notre cœur. Ensemble, réjouissons-nous de la bonté de Dieu et marchons unis! Il nous appelle à Son royaume et à Sa gloire!

Laisser une réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *