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Proverbes 14.21

Proverbes 14.21

Proverbes 14.21
Celui qui méprise son prochain, s’égare; mais celui qui a pitié des affligés, est heureux.

Soyons-en sûrs, devant Dieu, tous sont sur un pied d’égalité. En effet, si nous considérons les Écritures, qu’apprenons-nous? Tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu. C’est un fait, si le Seigneur l’avait voulu, Il aurait pu condamner uniformément tous les hommes sans aucune miséricorde. Il aurait pu les traiter avec le dernier des mépris! Après tout, l’homme n’a-t-il pas désobéi? N’a-t-il pas dédaigné le bon conseil de Dieu?

Néanmoins, notre Dieu en a usé tout autrement envers l’humanité. Véritablement, Ses voies et Ses pensées sont tellement au-dessus des nôtres! Bien loin de condamner l’humanité, Il a témoigné de Son amour pour elle. Voici, la grâce de Dieu salutaire à tous les hommes a été manifestée. Pourquoi vivons-nous aujourd’hui sinon parce que Dieu a eu pitié de nous? Nous vivons parce que nous espérons en Son Fils et croyons que nous serons justifiés par Sa grâce. Incontestablement, sans Christ, nous ne possédons rien et ne sommes rien. S’il se trouve quelque valeur en nous, ce n’est que dans la mesure où nous demeurons en Lui et Lui en nous. Par conséquent, quel sujet y a-t-il à se glorifier? Absolument aucun.

Quelle raison avons-nous donc de nous blesser les uns les autres? Pourquoi chercher à dominer et à user d’autorité sur les autres comme si nous leur étions supérieurs? Non, assurément, il ne reste pour l’homme nulle place pour l’orgueil et la présomption. En réalité, la seule conduite qui soit convenable est celle d’un cœur humble. N’est-ce pas à une telle attitude que le Christ Lui-même nous invite par ces paroles: « Si quelqu’un veut être le premier, il sera le dernier de tous et le serviteur de tous. » Aussi, abandonnons nos propres intérêts pour prendre à cœur ceux de Christ!

Concrètement, employons-nous avec amour à la recherche de ce qui contribue à l’édification de nos frères et sœurs dans le Seigneur. Usons de notre influence éventuelle et des dons qui nous ont été prêtés, non pour notre propre bénéfice, mais pour le bien commun. En un mot, veillons à ce que personne ne se prive de la grâce de Dieu!

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