Ephésiens 2.17-18

Séparé de Dieu, telle est la position de l’homme vis-à-vis de son Créateur. La raison en est fort simple, Dieu est saint et l’homme souillé par son péché. Sans nul doute, il ne peut y avoir de communion entre la créature et le Créateur tant que cet obstacle subsiste. Le problème est que, selon le témoignage des Écritures, l’homme est vendu au péché. La chair ne peut pas se soumettre à la loi de Dieu. Un tel abîme s’est creusé entre Lui et nous qu’il nous est impossible de le combler. Cette nouvelle n’est-elle pas désespérante? Assurément.

Seulement, y a-t-il quelque chose qui soit difficile à notre Dieu? Y a-t-il quelque chose qui soit étonnant de la part de l’Éternel? Contre toute attente, le fossé infranchissable qui nous privait de venir en la présence de Dieu a été comblé! Par qui? Comment? Par Son propre Fils, notre Seigneur Jésus-Christ. Lui-même s’est offert en rançon pour les pécheurs. Lui-même s’est offert pour nous offrir la paix et nous amener au Père. Quel grand Amour, n’est-ce pas? À la croix, la dette a été payée intégralement. Le Fils de Dieu a bu la coupe que le Père Lui a donnée à boire. Désormais, pour ceux qui sont en Jésus-Christ, il n’y a plus aucune condamnation.

Par conséquent, puisque le Seigneur a aboli le péché, que reste-t-il encore qui puisse nous empêcher de goûter à la présence de notre Dieu? Absolument rien! Notre communion est avec le Père et avec Jésus-Christ Son Fils! Ce libre accès a coûté si cher. Mépriserions-nous l’Oeuvre de Celui qui a consenti à payer un si grand prix? Refuserions-nous de Le suivre sur le sentier qu’Il nous a frayé? Non, ne soyons pas insensés! Avec reconnaissance, empruntons-le, bénissons Dieu pour Sa grâce immense et réjouissons-nous tous les jours en Sa présence!