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Daniel 4.34

Daniel 4.34

Daniel 4.34
Mais à la fin de ces jours-là, moi, Nébucadnetsar, je levai les yeux vers le ciel; le sens me revint, et je bénis le Souverain, et je magnifiai, et j’honorai Celui qui vit éternellement, dont la puissance est une puissance éternelle, dont le règne dure de génération en génération.

La domination de l’Éternel est d’âge en âge. Evidemment, ceux qui s’en réjouissent le reconnaissent dès maintenant sans aucune difficulté. Néanmoins, le fait est certain, même les rebelles y seront contraints! C’est pourquoi, ne nous rangeons surtout pas dans le camp des ennemis de Dieu. Si toutefois nous sommes encore de ce nombre, n’attendons pas plus longtemps, recherchons la paix avec Dieu.

Assurément, c’est une chose terrible que de tomber entre Ses mains! Qui serait assez téméraire pour Lui résister et prendre le risque de s’attirer Son courroux? Ne soyons pas insensés, écoutons la voix de notre Dieu et obéissons-Lui sans délai. D’ailleurs, bien qu’Il soit Maître et Seigneur, ce n’est pas l’habit d’un tyran qu’Il a revêtu pour s’adresser à Ses obligés. Non, pas du tout, au contraire, c’est avec humilité et douceur qu’Il nous a parlé. Oui, Dieu nous a parlé par Christ, Son Fils, pour nous montrer le chemin à emprunter.

Remarquons-le, Il a invité les hommes à Le suivre sans user de menace et sans chercher à les intimider. Simplement, Il leur proposait la grâce et la vérité. Oui, Dieu était en Christ et, par Lui, se proposait de réconcilier le monde avec soi. Voila le Message que le Fils est venu nous porter de la part du Père. Nous nous attendions à la guerre, à la condamnation, mais au lieu de cela, coup de théâtre, une déclaration d’Amour est parvenue jusqu’à nos oreilles stupéfaites, la plus belle que le monde ait jamais entendue. En substance, voici ce témoignage: « Car Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique afin que quiconque croit en Lui ne périsse pas mais qu’il ait la vie éternelle. » Rendons-nous compte, cette déclaration a eu un si grand retentissement que son écho a traversé les âges, jusqu’à nous qui vivons les derniers jours.

Non, ne soyons pas fous, ne méprisons pas la parole de la grâce de Dieu. Plutôt, réjouissons-nous avec chants d’allégresse. En Christ, la plus grande autorité qui soit nous tient pour agréable! Dans le Bien-Aimé, Celui dont le règne dure de génération en génération nous porte un regard favorable! Quelle douce pensée pour les pèlerins que nous sommes!

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