Bien que l’homme ne puisse comprendre l’oeuvre de Dieu dans sa globalité, il a pourtant dans son cœur la pensée de l’éternité. Qu’adviendra-t-il après les quelques jours de cette vie? Où irai-je? Tant que ces questions ne trouvent pas de réponses satisfaisantes, il ne peut y avoir aucun repos. La peur de la mort est comme collée à nous. Quoi que nous fassions, quelles que soient nos occupations, elle est là et ne donne aucun relâche.

Mais alors, que faire et où aller? Où sera notre délivrance? Qui soulagera notre fardeau? Écoutons ce que dit la Parole de Dieu. Certes, Il n’est pas insensible aux angoisses de nos âmes. Que nous apprennent les Écritures? Dieu a mis toutes choses sous les pieds de Son Christ. Voici, l’ennemi qui sera détruit le dernier, c’est la mort. Par conséquent, pour qui espère en Son Nom, il n’est désormais plus aucune raison de la craindre! Quelle grâce extraordinaire, n’est-ce pas? Remarquons-le, le Seigneur ne satisfait pas la curiosité des hommes. Les Écritures sont presque muettes en ce qui concerne nombre de sujets en rapport avec la création. Elles sont même d’une grande sobriété à ce propos. Par contre, incontestablement, Dieu répond au vrai besoin de sa créature. Il nourrit son âme. Il déclare à l’homme ce qu’il est et les relations que son Créateur souhaite entretenir avec lui.

Ainsi, le témoignage du péché de l’homme est éloquent et, plus encore, celui de la grâce de Dieu. Aussi, l’homme qui L’écoute trouve la paix et le repos. Oui, l’Éternel montre aux pécheurs le chemin qu’ils doivent tenir. Quel est-il? En réalité, comme nous l’avons déjà laissé entendre, il porte un Nom, Jésus-Christ. Le pardon des péchés, la réconciliation avec Dieu et la vie éternelle s’obtiennent par la foi au Fils de Dieu. Sans aucun doute, Il est vraiment le Sauveur du monde. Comprenons-le, c’est ici le message essentiel que nous devons recevoir et auquel nous devons obéir. Le reste n’a absolument aucune importance.

Pour finir, réalisons-le bien, les Écritures rendent témoignage de Jésus-Christ. Le but recherché n’est pas, bien entendu, de contenter l’insatiable curiosité de l’homme. N’en doutons pas, l’unique objectif est que, grâces à elles, nous connaissions le Seigneur et qu’ainsi, nous vivions par Lui! Ne nous est-ce pas tellement plus avantageux?

Toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés, selon Son dessein. Cette déclaration ne suffit-elle pas à notre bonheur? Si nous savons ceci, nous pouvons vivre le cœur serein. En réalité, nous pouvons bien tout ignorer si seulement nous connaissons et croyons l’Amour de Dieu. Inutile alors d’entreprendre de grandes recherches pour comprendre le pourquoi et le comment des choses. Oui, épargnons cette peine à nos âmes. À n’en pas douter, ces innombrables affaires auxquelles l’on s’emploie ne sont que des vanités et ne procurent que rongement d’esprit.

Voici, notre Dieu fait de grandes choses qu’on ne peut sonder, de merveilleuses choses qu’on ne peut compter. Quel est l’homme, quelle est la femme, qui puisse saisir, depuis le commencement jusqu’à la fin, l’oeuvre que Dieu fait? Il nous faut l’admettre, Sa science est bien trop élevée pour que nous puissions y atteindre. C’est pourquoi, cessons notre entêtement. Sachons-le, nous n’en pourrons tirer aucun profit. Maintenant, qu’il nous suffise seulement de nous reposer sur la fidélité de Dieu. Apprenons-le, c’est dans le calme et la confiance que sera notre force. Bien que les circonstances laissent peut-être parfois supposer le contraire, tenons toutefois pour certain que la Parole de Dieu s’accomplit infailliblement. Certes, c’est un Roc insubmersible!

Or, quelle est la promesse qui est faite à l’humanité? Quiconque croit en Jésus-Christ, reçoit la rémission des péchés par Son Nom. Telle est notre espérance. Désormais, elle peut aussi devenir la vôtre. Si votre barque est chahutée au milieu de la tempête, cet Appel est pour vous dès à présent: « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous soulagerai. »

Le monde se réjouit, fait bonne chère et vit dans les délices dans une totale insouciance. Les hommes ne se soucient pas de la condamnation latente qui pèse sur leur âme. La menace est pourtant on ne peut plus sérieuse. Néanmoins, aveuglés et endormis du sommeil de la mort, ils ne l’aperçoivent pas et ne saisissent pas l’urgence d’y remédier.

Pourtant, la vie est si fragile. Qui peut présumer de ses jours? Si, en cette même nuit, Dieu redemande son âme à un homme sans qu’il soit préparé à Le rencontrer, ne serait-ce pas dramatique? N’ayant pas cru au Nom du Fils unique de Dieu, quelle justice invoquera-t-il? Comment justifiera-t-il ses nombreux péchés? Sans avocat à ses côtés pour prendre sa défense, qui le délivrera de l’irrévocable sentence de mort? Dès alors, il ne sera plus temps pour lui de s’en inquiéter. Trop tard, il sera trop tard!

C’est pourquoi, puisque la Parole de Dieu nous avertit à ce sujet, ne soyons pas légers, n’agissons pas en insensés! Le jour de grâce n’est pas encore révolu. Fuyons la colère à venir et trouvons refuge auprès du Sauveur! Ne le savons-nous pas, Jésus-Christ est venu pour chercher et sauver ce qui était perdu! Lui-même a donné Sa vie en rançon pour plusieurs. N’avons-nous pas entendu parler de Ses souffrances et de Son agonie à la croix? N’avons-nous pas eu connaissance du cri qu’Il a poussé avant de rendre l’esprit? Voici, tout est accompli! Le châtiment qui nous apporte la paix est tombé sur Lui. La dette est payée.

Sans plus attendre, délaissons le monde et ses vanités. Hâtons-nous, venons au Seigneur Jésus et ne nous privons pas de la grâce de Dieu. Comment échapperons-nous, si nous négligeons un si grand salut?

C’est une évidence, notre Dieu fait tout ce qu’Il veut. Véritablement, il n’y a rien qui Lui soit difficile. Par Sa puissance, Dieu a créé les cieux et la terre. Il a réglé les saisons et la course des étoiles. Pouvons-nous seulement le réaliser? Si nous méditons à ce sujet, comment ne pas reconnaître combien nous sommes petits? Admettons-le, au milieu de l’univers, nous sommes insignifiants et tout à fait négligeables. Une poussière de poussière, voici ce que nous sommes.

Indéniablement, le Créateur n’a pas besoin de nous. Néanmoins, nos âmes ont du prix aux yeux de Dieu. Les Écritures ne laissent place à aucun doute à ce sujet, Dieu nous aime! Comment le comprendre? Le méritons-nous? Non, au contraire, nous sommes tous pécheurs. Sommes-nous riches pour payer notre rançon? Bien au contraire, toutes nos justices sont comme le linge le plus souillé aux yeux du Seigneur. Assurément, il ne se trouve rien d’aimable en l’homme.

Tel est notre constat: l’Amour de Dieu est libre et sans aucune contrainte. À nous de le recevoir. Dieu a envoyé Son Fils afin que le monde soit sauvé par Lui. Que ferons-nous? Serons-nous rebelles? Rappelons-nous à qui nous avons affaire! Sommes-nous plus sages et plus forts que le Créateur de tout l’univers? Quelle folle prétention! C’est une évidence, il n’y a qu’une seule attitude qui nous convienne: l’humilité. Jésus-Christ est notre Seigneur et Sauveur. C’est en Lui que l’Amour que Dieu nous porte se manifeste. Soumettons-nous à Lui, plus rien ne s’opposera alors à notre bonheur. Nous pourrons nous réjouir des œuvres de Dieu et joindre le cortège de ceux qui Lui rendent hommage. Quelle heureuse perspective!

Assurément, Dieu a fait l’homme droit; mais eux, ils ont cherché beaucoup de raisonnements. Que disent les Écritures? « Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre. » Néanmoins, à cause de son orgueil, l’homme ne peut se contenter de cette explication à propos de l’origine de l’univers. Au lieu de cela, il s’enlise dans toutes sortes de fables et d’invraisemblances. Au lieu de reconnaître que Dieu est le Créateur et de Lui rendre hommage, il préfère croire au mensonge et se glorifier lui-même de sa prétendue science. Qui peut dire le nombre de ceux qui sont plongés dans l’obscurité et privés de tout espoir puisqu’ils ont mis leur confiance dans la parole des hommes au mépris de celle de Dieu?

Pourtant, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient comme à l’œil, depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages. C’est pourquoi, en ce qui nous concerne, ne nous laissons pas enfler par la science de ce monde et sa suffisance! N’abandonnons pas la foi! Au contraire, retenons la Parole de Dieu. N’en doutons jamais, elle est la vérité. Elle est notre rempart, même face au plus séduisant des mensonges. Gardons précieusement son enseignement! Soyons-en sûrs, si nous bâtissons nos vies sur ce fondement, il tiendra bon. Oui, si nous bâtissons sur le Roc insubmersible, les flots d’incrédulité qui déferlent sur le monde ne pourront jamais nous terrasser.

Souvenons-nous en toujours, une seule chose est vraiment nécessaire à l’exclusion de toutes les autres: la connaissance du Seigneur Jésus-Christ. C’est en Lui que sont renfermés tous les trésors de la sagesse et de la science. Croyons-le fermement, nous avons toute plénitude en Lui!

Celui qui augmente sa science augmente sa douleur. N’est-ce pas la vérité? Plus l’homme creuse et cherche à percer les mystères de l’existence, et plus nombreuses sont les interrogations auxquelles il est confronté. Comment peut-il trouver le repos dans de telles conditions? Son cœur est sans cesse en travail et dans la peine. Le Christ a déclaré: « Heureux les pauvres en esprit; car le royaume des cieux est à eux. » En eux, point d’orgueil, point de hauteur ni de défiance. En toute simplicité, ils peuvent recevoir le témoignage de la Parole de Dieu. Ils ne la remettent pas en doute. Ils s’y soumettent et obéissent humblement.

En définitive, voici ce qu’il nous faut, connaître la volonté de Dieu! Rien d’autre ne nous est réellement profitable. Rien d’autre que la connaissance de notre Seigneur Jésus-Christ ne peut satisfaire nos âmes et combler nos attentes. Tout le reste est comme de la boue. L’homme se croit sage et estime se suffire à lui-même. Néanmoins, il ignore que c’est en Christ que sont renfermés tous les trésors de la sagesse et de la science!

Certes, nous ne prétendons pas disposer de réponses à toutes les questions difficiles concernant nos origines. Nous savons seulement ceci: « Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre. » Nous le recevons par la foi et cela nous suffit. Par contre, ce que nous connaissons avec certitude, c’est que par le Nom de notre Seigneur Jésus-Christ, nos péchés sont pardonnés! Par ce Nom, nous sommes réconciliés avec Dieu! Ce que nous connaissons avec certitude, c’est que par la foi dans le Nom de Jésus-Christ, nous sommes faits enfants de Dieu! Ce dont nous sommes persuadés, c’est que par ce Nom, nous avons la vie éternelle!

Quel sage de ce siècle peut se glorifier d’une telle espérance, et ce malgré tout son grand savoir? Pour nous, nous avons tout pleinement en Christ!

Le Seigneur connaît non seulement le nombre des étoiles mais, comme si ceci était peu de chose, Il les appelle toutes par leur nom! Ce simple fait ne suffit-il pas à abattre tout orgueil dans notre cœur? Certainement, face à une science aussi élevée et inaccessible, nous ne pouvons que nous incliner et nous humilier. Véritablement, nous sommes d’hier et notre connaissance est comme un rien. Sans nul doute, le contester serait une folie.

Le psalmiste a déclaré: « Éternel, qu’est-ce que l’homme, que tu aies soin de lui? et le fils de l’homme que tu en tiennes compte? » Lorsque nous considérons la grandeur de Dieu et toute l’étendue de Son intelligence, la même interrogation s’impose à nous, n’est-ce pas? Pourquoi donc le Seigneur s’intéresserait-Il à nous? Pour quelle raison aurait-Il soin de lui? Effectivement, il est difficile de le concevoir. Néanmoins, c’est un fait, Dieu nous aime! Il l’a prouvé en envoyant Son Fils. Voici ce que dit la Bible, Jésus-Christ est venu pour chercher et sauver ce qui était perdu. Par Son Nom, nous obtenons le pardon pour nos péchés et la vie éternelle.

N’est-ce pas une Nouvelle extraordinaire? Accueillons-la avec joie et reconnaissance! Se pourrait-il que quelqu’un refuse la main tendue de Celui dont la science est parfaite? Ne serait-ce pas commettre une grave erreur? Puisque notre savoir est si rudimentaire et que nous ne savons discerner correctement notre droite de notre gauche, pour quelle obscure raison nous obstinerions-nous à vouloir marcher sans Dieu? Bien entendu, cela n’aurait aucun sens! Soyons sages, abandonnons-nous entièrement au Seigneur, nous ne le regretterons jamais. C’est une certitude!

Oui, le Seigneur connaît le nombre des étoiles, c’est une réalité! N’oublions pas qu’Il connaît également le nombre de cheveux de notre tête! Dieu a soin de Ses fidèles, c’est une évidence! Il saura nous conduire pas après pas tout au long du chemin. C’est pourquoi, ne soyons pas insensés, ne méprisons pas Son Amour, ne négligeons pas un si grand salut!

Prenons-en conscience, la sagesse est plus désirable que le fin or et l’argent. Même, toutes les perles les plus précieuses n’égalent en rien sa valeur! Après tout, que reviendrait-il de posséder toutes les richesses de la terre si le cœur est insensé? Finalement, l’homme n’en retire aucun avantage sinon celui d’en jouir quelques jours durant le temps de sa vanité. Le réalisons-nous, il se met en grande peine pour si peu de chose! Bien vite, ce qui fait sa gloire lui sera retiré, et seule la confusion lui restera.

Le monde se croit sage, tellement sage. Et pourtant, cette sagesse qui le réjouit tant, n’a rien d’enviable. Elle est terrestre, charnelle, diabolique. Elle s’évertue à affranchir l’homme de Dieu, l’amenant jusqu’à nier Son existence. Croyant être sages, les hommes deviennent fous. Maintenant, ils s’assurent sur leur savoir, sur leurs prétendues avancées scientifiques. Quelle erreur! Tout ceci n’est qu’une chimère, qu’un feu de paille, une lumière artificielle. Le fait est qu’ils sont dans la nuit et, de toute évidence, n’aperçoivent pas le danger qui les menace. Pétri d’orgueil, l’homme pense n’avoir besoin de rien.

Toutefois, bien qu’il l’ignore, la vérité est tout autre. Il est malheureux, et misérable, et pauvre, et aveugle, et nu. Quel contraste saisissant entre l’illusion et la réalité! Mais alors, qu’est-ce donc que la sagesse? À ce propos, la Bible affirme que le commencement de la sagesse est la crainte de l’Éternel. L’apercevons-nous, la sagesse de ce siècle ne pourrait être plus opposée à celle qui vient d’en haut. Le monde n’a de cesse de chercher son indépendance. Au contraire, Les Écritures engagent l’homme à craindre Dieu et à ne dépendre que de Lui!

À présent, comment et où obtenir la sagesse? Tous doivent le savoir, elle ne s’achète pas à prix d’argent (qui pourrait se l’offrir?). Il s’agit seulement de la recevoir, car Dieu la donne libéralement à quiconque la demande. Le Seigneur Jésus a été fait pour nous sagesse, justice, sanctification et rédemption. Regardons, tous les trésors de la sagesse et de la science sont renfermés en Christ! Ainsi, plus quelqu’un apprend à Le connaître et s’attache à Le suivre, plus il sera instruit dans les voies de Dieu. Par conséquent, voici ce qu’il faut retenir: quiconque désire devenir sage, selon la pensée de Dieu, n’a qu’à suivre et obéir au bon Berger!

Certes, les positions du peuple de Dieu sont bien singulières. Pour lui, la Parole de Dieu fait autorité. Invariablement, c’est elle qui dit vrai! Elle n’a pas à s’accommoder de la présumée science des hommes, jamais. Non, elle n’a, en aucun cas, à se mettre au diapason des « nouvelles découvertes de la science moderne »! Jugerions-nous les Écritures à la lumière de la science de l’homme? Ne serait-ce pas insensé? En réalité, ne serait-ce pas inverser tout à fait l’ordre des choses? Ne serait-il pas beaucoup plus judicieux de juger les avancées scientifiques à la lumière du témoignage des Écritures pour s’assurer de ne pas être dans l’erreur? Sans l’ombre d’un doute! Et pourtant, l’homme, qui n’est que d’hier, croit savoir quelque chose. Rempli de présomption et de suffisance, il a l’audace de remettre en question le témoignage divin à l’occasion de telle ou telle de ses soi-disant trouvailles.

Bien entendu, vivre par la foi, et garder simplement la Parole de Dieu, place celui qui s’engage dans cette voie dans une situation inconfortable. Constamment, telle personne est soumise aux diverses pressions et autres sollicitations du monde qui pousse, avec tant d’insistance, à embrasser sa philosophie. Cependant, est-ce étonnant? Le Seigneur Jésus n’a-t-Il pas dit des Siens: « Ils ne sont pas du monde, comme je ne suis pas du monde. » Indéniablement, il y a ici un combat à mener pour garder la foi! Ceci dit, quelle paix et quel repos pour qui reçoit la Parole de Dieu en la mêlant de foi. Son cœur n’est pas embarrassé, ni travaillé, par les questions qui minent le monde. D’où vient-on? Où allons-nous? Quelle est l’origine du monde? Le témoignage des Écritures à ce propos lui suffit, et son cœur ne s’alarme pas.

Désormais, troquerions-nous notre paix, notre repos, en échange des angoisses et de la perplexité que nous apporterait la prétendue connaissance de ce monde orgueilleux? Indiscutablement, nous serions hors du sens si nous agissions de la sorte. Dans Sa grâce, que Dieu nous garde de nous égarer, et qu’Il rende notre front semblable au diamant, plus dur que le roc, afin que nous ne craignions pas l’adversité qu’engendreront nos convictions au milieu du monde rebelle!

Aujourd’hui, le monde nous abreuve de sa science et nous en sommes confus. Sans doute l’avons-nous remarqué, l’homme est comme obsédé par sa soif de connaissance, par son désir de connaître son origine. Pour cela, il investit tout son temps, toutes ses forces et toutes ses richesses. Néanmoins, aussi perfectionnés que soient les outils qu’il emploie pour parvenir à ses fins, le fait est qu’il ne parvient pas à discerner la vérité.

À peine estime-t-il avoir trouvé une réponse que voici dix mille autres questions qui émergent! À peine est-il parvenu à échafauder une théorie que de nouvelles difficultés surgissent provoquant l’effondrement de tout l’édifice. Faire et défaire, telle est l’interminable occupation de l’homme. Il tourne en rond sans jamais obtenir satisfaction. Il ne récolte que frustration et mécontentement. En réalité, il n’y a rien d’étonnant à cela. Chacun le sait, Dieu résiste aux orgueilleux mais Il fait grâce aux humbles. L’homme peut bien s’évertuer à l’atteindre, la lumière restera inaccessible. Il demeure plongé dans ses ténèbres. Le constat est le suivant: le monde n’a pas connu Dieu par sa sagesse.

Aussi, rien ne sert de persister dans cette voie puisque c’est une impasse. Apprenons-le, ce n’est que par le moyen de Sa Parole que Dieu se révèle à l’homme. Il s’y révèle au travers de Son Fils par lequel aussi Il a fait le monde. Sans le savoir, le sage de ce siècle méprise le trésor qu’il recherche pourtant avec tant d’ardeur! Quant à nous, n’empruntons pas cette voie. Nous ne sommes pas laissés ignorants, gardons l’enseignement de la Parole de Dieu. Ce témoignage est sûr, digne de toute confiance. Bien entendu, toutes les interrogations ne seront pas levées. Mais après tout, est-ce si grave? Non, croyons-le, notre contentement n’en sera pas entamé. Le monde se passionne pour des énigmes qui finalement ne sont que l’expression d’une curiosité déplacée.

Oui, nous avons tout pleinement en notre Seigneur Jésus-Christ. Indéniablement, Il suffit à combler tous les besoins. Il soulage durablement la soif et donne du repos aux âmes qui viennent à Lui. Dorénavant, le monde, ses bruits, et sa science ne troubleront plus nos cœurs. Nous connaîtrons la vérité, et nous serons véritablement libres!