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Hébreux 6.12

Hébreux 6.12

Hébreux 6.12
Afin que vous ne deveniez pas paresseux, mais que vous imitiez ceux qui, par la foi et par la patience, héritent des promesses.

Seuls ceux qui franchissent la ligne d’arrivée remportent le prix de la course. Ceci, nous le savons bien. Parfois pourtant, le pas se fait tellement pesant, n’est-ce pas? Le genou à terre, lassés et découragés, il semble qu’une simple brise suffirait désormais à nous faire déclarer forfait. Seulement, si nous succombons à cette tentation, il va sans dire que les conséquences seraient désastreuses. Alors, nous aurions absolument tout perdu.

Après avoir renoncé à Christ, quel repos reste-t-il? Qui nous consolera et quelle sera notre espérance? Si les Écritures affirment ouvertement que nous avons tout pleinement en Christ, il parait tout à fait évident que, sans Lui, nous sommes entièrement dépouillés. En somme, une fois engagés dans la carrière chrétienne, il n’est plus question de rebrousser chemin. La paix ne se laisserait alors plus jamais trouver. Maintenant, nous connaissons que Jésus est le Chemin, la Vérité et la Vie. Maintenant, nous sommes convaincus que nul ne vient au Père que par Lui. Impossible d’emprunter un autre sentier sans se perdre.

Que faire alors? Marcher, continuer d’avancer coûte que coûte. En dépit des embûches, des chutes et des blessures, suivons fidèlement le Pasteur. Envers et contre tout, Il nous mènera jusqu’au bout. Notons-le bien, c’est Lui qui le fera. Il est le Berger et nous sommes Ses brebis. Soyons lucides, la victoire finale ne dépend absolument pas de nos propres capacités. Indéniablement, nous faisons fausse route si notre confiance est dans la chair. Tôt ou tard, elle nous trompera. Non, ce qui nous fait remporter la victoire sur le monde, c’est notre foi. Nous croyons que, selon Sa promesse, le Seigneur est avec nous et nous prenons appui sur Lui.

Quelqu’un se sent faible et incapable de faire un pas de plus? Tant mieux! Il lui sera d’autant plus simple de se confier dans le Sauveur. Nos infirmités ne sont certes pas un obstacle, notre incrédulité l’est indiscutablement. À ce propos, écoutons les douces paroles du Sauveur: « Ma grâce te suffit; car ma force s’accomplit dans la faiblesse. » Quelles extraordinaires paroles de consolation! Nos cœurs peuvent bien cesser de s’alarmer à présent. Retenons-le, en dépit de toutes les apparences, tout est bien si notre foi est dans le Nom de Jésus-Christ. Aussi, ne craignons plus, croyons seulement. Bientôt, très bientôt, la course s’achèvera et nous hériterons des précieuses promesses!

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